take me home
je me déserte
souvent
des ancrages temporaires
des chalets 3 saisons
à deux provinces de mon corps
la charpente attend encore chez moi
patiemment
tant pis
j’irai cogner aux portes demander c’est quoi mon nom
qu’est-ce qui brille en dedans
comment on éteint ça des larmes de feu?
corps / mots - vickie grondin
caméra - carl beauchemin
musique - atoll, par nai palm